Noms de lieux de Vailly-sur-Sauldre

Noms de rues, édifices

Les noms de voies, de cours d’eau, d’édifices remarquables tels qu’employés couramment se retrouvent inchangés dans cette partie, par exemple, Boulevard de la République, Stade Henri Baudet, Gendarmerie...

 

travail en cours

 

 

Auberge du Pied qui remue

Auberge créée en 1862 dont le nom provient de l'histoire orale: il y aurait eu à cet emplacement une grange dans laquelle on entassait du foin et un jour, lors du passage d'un bataillon prussien, quelqu'un aurait aperçu un pied qui dépassait, d'où l'appellation "auberge du pied qui remue".

Mais ce qui en fait son originalité, est qu'elle n'ouvre en tant qu'auberge qu'une fois tous les sept ans, durant le comice agricole (et un jour par an les autres années pour conserver sa licence).

Auberge du pied qui remue 2

 

 

Au pied qui remue 2

Boulevard de la République (aujourd'hui)

Ce Boulevard n’existait pas en 1834, il a été tracé à la limite inférieure du Champ du Puits.

Boulevard de la republique

Château de Vailly

Le Château de Vailly, édifié à la fin du XIVe siècle et remanié au début du XVIe siècle, est aujourd'hui en grande partie en ruines. Initialement une habitation seigneuriale, il a appartenu aux seigneurs de Vailly jusqu'à la fin du XVe siècle avant de passer à Louis de Sancerre et de devenir un fief direct royal.

Chateau 1

Le diamètre intérieur de l'enceinte est de 29m. Des tours rondes faisaient saillie aux angles. Les deux tours antérieures n'avaient entre elles que l'espace d'un passage large de 2 mètres. Les autres côtés avaient une dimension de 14,30 à 16m chacun. Les tours avaient 7,50m de diamètre avec un vide intérieur de 4,25m et des murs épais de 1,50m.

Les courtines, épaisses aussi de 1,50m  étaient hautes de 9 à 10m. Les courtines avaient la même épaisseur. Les archères étaient des fentes verticales larges de 0,05m dont les embrasures intérieures n'étaient que de simples évasements. Les matériaux utilisés pour la construction comprenaient du grès ferrugineux pour les bases et du calcaire blanc pour les archères.

Le bâtiment d'habitation carré avait quatre tourelles d'angle,  les deux intérieures de 3,50m de diamètre avec un vide intérieur de 1,85m, les deux autres, plus grosses,  occupaient les angles de raccord avec la courtine. Une de ces dernières avait un escalier dont la porte était encadrée de décorations Renaissance aux armes de François de Bueil ; lors de la démolition d'une importante partie du château en 1911, le Marquis de Vogüe acquit cette porte et la transporta au château de Pezeau, sur la commune de Boulleret.

La tour nord-ouest, encore debout, est remarquable par sa base talutée et une archère axiale. En 1834, le cadastre napoléonien montrait que les huit tours et la porte d'accès sud étaient encore présentes. Aujourd'hui, des habitations modernes sont adossées aux sections sud et ouest de la courtine subsistante. Les bâtiments qui servaient d' "office" existent encore en partie avec à l'intérieur, le four banal. M. Raoul Bradier déclarait en 1957 au Berry Républicain : "il y a peu de temps encore, les gens faisaient cuire une fois par an la galette dans ce four, et organisaient ensuite une fête".

Chateau 2

 

Chemin de Vailly à Sancerre (1834)

Sur la carte du cadastre napoléonien, le chemin de Vailly à Sancerre ne correspond pas du tout à la Route de Sancerre (D923) que nous empruntons aujourd'hui : il correspondait à l'actuel Chemin des Sablons :

Chemin de vailly a sancerre

Eglise Saint-Martin

Construite au XIème siècle, de cet ancien édifice il ne reste que la base du clocher, l'ancien portail occidental. La nef et le clocher sont refait au XVIIème siècle, et au milieu du XIXème sont rajoutés les chapelles latérale, le chœur est reconstruit ainsi que la sacristie. L’église de Vailly est située au bas de la place principale du bourg et construite en matériaux locaux : bourdage à la chaux de moellons de grès rouge-brun pour les murs et maçonnerie de pierres ferrugineuses pour les contreforts.

Le 24 juin 1880, le maire de Vailly, Fortuné Mellot, notaire et futur député du Cher, fait peindre sans autorisation la devise "Liberté, Egalite, Fraternité" sur un bandeau de ciment juste au-dessus de la porte principale de l'Église St-Martin de Vailly. Le curé de l'époque, le Père Noyer fait stopper les travaux et en réfère à l'Archevêque de Bourges, Jean-Joseph Marchal. Saisie, la Préfecture enjoint le Conseil Municipal de délibérer : le 14 novembre, à l'unanimité moins une voix, l'assemblée municipale affirme son vœu de "voir inscrite sur la façade de l'église, la devise résumant tous les grands principes de la République" en caractères noirs sur fond blanc. L'inscription sera achevée en décembre.

Pour beaucoup plus de détails sur cette église, reportez-vous au site :

https://www.facebook.com/les.compagnons.de.l.eglise.de.vailly 

et adhérez à cette association si vous voulez participer à la restauration de cet édifice

Vailly l eglise

Gare

Vailly était située sur la ligne de chemin de fer Argent-sur-Sauldre – La Guerche exploitée par la Société Générale des Chemins de Fer Economiques (S-E). Le tronçon Veaugues - Argent a été ouvert le 26 Août 1907. Vailly "générait un important trafic ferroviaire, passagers et marchandises. On y chargeait de nombreux bestiaux, notamment des poulains de trait renommés" (Hurley, 2010)

Lors de l'été 1948, tout trafic cessa sur cette ligne et elle sera déclassée le 1er juillet 1951.

Gare de vaillyGare de vailly 2

Gendarmerie

Landois : "  Pour le casernement de la brigade de gendarmerie de Vailly, l'administration a affermé de la dame Regnault veuve Torchon demeurant à Aubigny une maison dont elle est propriétaire à Vaillie. Cette maison est composée de trois corps de bâtiment, deux pour l'habitation des gendarmes et le troisième pour le couvert de leurs chevaux et des fourrages. Aucune pièce n'est destinée à servir de prison. Or, au début de 1820, il a été déploré l'évasion d'un déserteur déposé dans un simple cabinet fermant seulement à clé, d'où la nécessité "de la recherche d'un local ad hoc". Le 6 janvier 1821, Galland, entrepreneur, s'engage à confectionner les ouvrages relatifs à la construction d'une prison dans une grange dépendant des bâtiments occupés par la gendarmerie. Coût 1239,40 francs. Le local est un cube de 2,60 m de côté, flanqué d'une porte de 34 cm d'épaisseur dotée d'une serrure de 16 cm de longueur sur 10 cm de largeur.

Le 20 octobre 1860, le conseil municipal vote un emprunt de 14 000 francs pour la construction d'une caserne de gendarmerie. Cet emprunt est autorisé le 18 juin 1862 par Napoléon III, décision prise en son palais de Fontainebleau. Au préalable, il y eut nécessité d'acquérir le Petit Champ Pion situé sur le haut de la place, parcelle numéro 387, section A, appartenant à M. Robin au Noyer. Le projet est dû à M. Rey, architecte à Bourges. Le coût est estimé à 28 762,46 francs. Ultérieurement, plusieurs agrandissements et aménagements interviendront.

Dans sa séance du 26 novembre 1969, sur réponse favorable de la Commune, le Conseil général décide la prise en charge à compter du 1er janvier 1970 du casernement de Vailly-sur-Sauldre. La cession est en fait pour le franc symbolique. Mais le département s'engage, en cas de désaffection de l'immeuble, à le rétrocéder à la Commune dans les mêmes conditions. Par délibération du 12 janvier 1971, l'Assemblée départementale décide de la reconstruction de la caserne de Vailly. Celle-ci, réalisée en 1975, compte 6 logements"

Gendarmerie

Grange Pyramidale

Située sur la parcelle La Planche (qui s'appelait Le Plant en 1834) à côté de l'Office du Tourisme, la grange pyramidale de Vailly n'est pas d'origine mais est représentative de ces bâtiments à l'architecture particulière typique du Pays Fort. Une soixantaine de ces granges existait dans les années 1970s et il n'en reste actuellement qu'une trentaine, toutes propriétés privées non visitables. Pour mettre en avant ce patrimoine, il a été décidé de démonter une de ces granges nommée "La Métairie d'Aubigny" située sur le village de Thou et de la remonter à l'emplacement qu'elle occupe actuellement ; les travaux ont débuté en mars 2000 et ont duré 5 mois, totalisant plus de 2000 heures de travail. Seule une grande partie de la charpente en bois de chêne et de châtaignier (réputés imputrescibles) et quelques pierres de soubassement sont d'origine. La structure de ce type de grange ne comporte pas de murs porteurs, tout repose sur la charpente, les cloisons sont en torchis de paille et de seigle tenu par un lattis de bois ; la toiture actuelle est composée de 35000 tuiles de 1kg ; à l'époque, les toits pouvaient être en seigle, en chaume ou en bardeaux de bois.

D'une hauteur de 10,4m, elle mesure 15 x 18m, soit 270m² alors que la moyenne des granges du Pays Fort se situe aux alentours de 150m². Une datation des bois de la charpente la fait remonter à l'an 1450 et en fait une des plus anciennes de la région (Joliveau à Assigny : 1505 ; Subligny : 1520). Ce sont des bâtiments agricoles à vocation communautaire : différentes familles y abritaient leurs animaux, leurs outils. Une des fonctions principales était le stockage, la paille, le foin était stockés dans le fenil situé au-dessus, posé sur les poutres pour sécher plus rapidement ; les poutres servaient aussi pour faire sécher les oignons, les haricots, les feuilles de tabac... Le sol de la grange était divisé en plusieurs parties : juste après l'entrée charretière se trouvait une zone pour le garage des charrettes suivie par une aire de battage puis une zone de stockage des gerbes avant battage. Sur les côtés, on trouve des balliers (lieux où l'on rassemble toutes les menues pailles provenant du battage et du vannage), une étable d'un côté et une bergerie de l'autre. On entre dans la bergerie par l'extérieur et dans l'étable par une porte située à côté de l'entrée charretière. Elles étaient munies de "bouinottes" (petites ouvertures généralement circulaires dans un mur) pour nourrir les animaux. Ces granges pyramidales n'étaient pas un lieu d'habitation (à l'exception de la "Maison Carrée" à Villegenon qui a été détruite en 1969) mais, fraiches en été et chaudes en hiver, servaient aussi de lieux de festivité pour des repas de famille, des repas de noces, etc.

Grange pyramidale1

L'origine de ces granges pyramidale est incertaine : certains y voient une ressemblance avec des huttes néolithiques ou gauloises, d'autres les rapprochent des granges et des maisons-halles scandinaves et germaniques dont le concept aurait été importé par les Wisigoths aux Ve et VIe siècles et dont on trouve  des exemples dans le Schleswig-Holstein, en Basse Saxe...

Pont sur la Grande Sauldre

Landois : "Par lettre au sous-préfet de Sancerre, le 21 avril 1825, le marquis Dallon, préfet du Cher, donne toute instruction pour que les travaux commencent pour la construction du pont de Vailly, faire étayer le vieux pont de planche et prévenir les accidents que sa vétusté pourrait occasionner. En février 1828, l'entreprise Jean-Claude Raboeuf à Cônes procède (avec retard) à la reconstruction du pont de Vailly. Des malfaçons vite sont décelées. Pour tenir compte des vices de construction, le préfet, par arrêté du 20 juin 1828, décide que tous les travaux nécessaires seront refaits aux dépens de l'entrepreneur. Un second arrêté du 2 octobre prescrit la démolition des quatre assises supérieures des piles et des culées (AD Cher Z.1289).

Malgré qu'ait été exigé que toute diligence fût faite dans l'exécution des travaux, l'ouvrage ne sera terminé que beaucoup plus tard. En 1848, le pont sur la Grande-Sauldre est dans un état déplorable de vétusté. Le conseil municipal signale à l'autorité supérieure que ce pont construit en bois sur des piliers de pierre en 1826 n'a presque pas reçu de réparation depuis cette époque que tous les madriers et garde-fous ont besoin d'être renouvelés.

En mai 1851, les parapets du pont, en aval, se sont détachés et tombés de pourriture. Journellement, les madriers tombent sous le passage des voitures ;  partie de la maçonnerie d'une des piles a croulé.

Dans sa séance du 30 octobre 1871, le Conseil général décide de la reconstruction du pont de Vailly en jambant la Grande Sauldre. Sur le CGC numéro 11, l'ouvrage sera en fer avec ses deux culées et quatre piles intermédiaires en maçonnerie. Le devis s'élève à 23 000 francs.

En 1873 et 1874, les travaux sont exécutés. En 1874, le conseil municipal décide de la construction d'un abreuvoir près le pont de Vailly. Cette construction est jugée nécessaire".

Vailly pont sur la sauldre 1

Routes traversant Vailly

Le schéma suivant montre les différentes voies de communication et leur nom selon les époques : en vert : 1844 ; en bleu : 1950, en rouge : aujourd’hui.  La flèche en pointillé en direction des Sablons était en 1834 le "chemin de Vailly à Sancerre"

Routes 1Sur la carte suivant, le chemin de Vailly à Concressault n'est pas représenté :

Routes2

Les voies ordinaires ont été aussi numérotées mais ces numéros ont changé selon les périodes : ainsi la V.o. de Vailly à Cernoy était la Vo13 en 1873-1875 et la Vo2 en 1892-1894. Il existe également un Chemin d’intérêt commun, IC60, de Vailly au port de Neuvy-sur-Loire (1860-1893), le Port-au-Bois. Il s’agissait d’un petit port sur la Loire, à cheval entre la Nièvre et le Cher. En 1959, le 9 juillet,  le Conseil Municipal dresse un tableau des chemins vicinaux ordinaires :

V.o. n°1 : Vailly-Pierrefitte ; longueur : 2920m

V.o. n° 2 : Vailly –Cernoy : 1600m

V.o. n°3 : avenue de la Gare : 229m

V.o. n°4 : Vailly-Pilater : 2670m (Boulevard de la République compris)

V.o. n°5 : Vailly-Jars : 1515m

V.o. n°6 : Vailly-Sury : 1426m.

Le Chemin rural n°1 des garniers au Pont de la Salereine a une longueur de 525,60m, la rue Inutile, 983 et la place de l’Eglise a une superficie de 5016m².

Le Chemin Vicinal de Grande Communication n° 13, ou Gc13 (18) - entre Vailly-sur-Sauldre et Aubigny-sur-Nère deviendra une section de la Route Nationale 723, ou RN723 qui reliait Blois (Saint-Gervais-la-Forêt) à Sancerre en 1933 qui sera déclassée en 1973 en D923.

Le Chemin Vicinal de Grande Communication n° 8, ou Gc8 (18), entre Vailly-sur-Sauldre et Belle-Chaume en direction de Sancerre deviendra une section de la Route Nationale 723, ou RN723 qui reliait Blois (Saint-Gervais-la-Forêt) à Sancerre.Elle s’est appelée aussi un temps Route Départementale n°8.

Routes3

Rue de la Roue à Paul

Elle porte  le nom d'une roue utilisée par un cordier, Paul Mativet appartenant à la troisième génération d'une famillede cordiers dont tous les garçons se prénommaient Paul. Fabriquée en bois, d'1m50 de diamètre, elle était actionnée à la main et entraînait les toupies permettant de vriller entre eux les éléments de cordes de chanvre utilisés en agriculture à la fin du XIXe siècle : "Le cordeau qui s'allonge est guidé par des "râteaux" fichés dans le sol à 10 mètres d'intervalle le long du chemin [devenu la rue de la roue à Paul] permettant ainsi de confectionner d'un seul tenant 100 mètres". Vers 1850, deux autres cordiers travaillaient à Vailly-sur-Sauldre. (Office du Tourisme du Pays Fort).

Cordier

Roue paul

Rue inutile

 Pour établir un passage entre le Boulevard de la République et le Chemin de Grande Communication numéro 8, une famille cède gratuitement en 1904 à la commune une bande de terrain large de 10m. Mais la Commission Départementale qui se réunira en mai 1905 ne donnera pas un avis favorable à la demande de subvention pour cet accès qui devait porter le nom de Decensière Chaudry. En septembre, la construction sera terminée mais engendrera un mécontentement de la population estimant qu’elle aura coûté bien trop cher pour "servir à rien"…d’où son nom de Rue inutile).

 

 

Square Pierre Turpin

En 1924, Pierre Turpin (1897-1992) crée une entreprise de battage à Vailly, puis se voit adjoindre un commerce de graines fourragères. En 1963 : Maurice Martignon prendra la succession de son beau père à la tête de l’entreprise. Pierre Turpin a été maire de la commune de 1959 à 1971.

Stade Henri Baudet

Le stade est baptisé en l'honneur d'Henri Albert Baudet, né à Concressault le 17 juillet 1890, résistant, membre des Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), décédé à 54 ans, le 12 juillet 1944. Il a été marchand de chaussures : dans La Dépêche du Berry datée du 10 février 1923, on peut lire qu'Henri Baudet, marchand de chaussures à Vailly-sur-Sauldre, s'est fait dérober 700 francs dans le tiroir-caisse. Le lendemain, on apprend que les billets ont été retrouvés dans des circonstances singulières "Mercredi matin, Mme Bizeau, en ouvrant sa boucherie, aperçut sur le carreau une liasse de billets de banque qui avait été glissée pendant la nuit à travers l'étal. C'était le manquant de la caisse de Mme Baudet que le voleur, pris de remords, avait restituée de façon indirecte. Mme Bizeau remit les billets à leur propriétaire et en informa la gendarmerie".( La Dépêche du Berry, 11 février). Il est indiqué comme patron d'une fabrique de chaussure route de Thou dans les registres du recensement de 1936.

La Dépêche du Berry datée de 18 juillet 1944 annonce le décès du maire de Vailly-sur-Sauldre, Henri Baudet. Il est décédé le mercredi 12 juillet "dans l'exercice de ses fonctions". Il n' y est pas fait mention de son appartenance à la Résistance. Le site mémoiredeshommes.fr le cite deux fois : une fois dans la base des victimes civiles (ref. AC 21 P 310045) et une fois dans les titres, homologations et services pour faits de résistance, membre des FFI  (cote GR 16 P 38562)  avec une erreur sur sa date de naissance (17 juillet 1910 au lieu de 1890). Sa fiche de mobilisation indique qu'il a été réformé définitivement le 20 avril 1939 pour déformation notable de la colonne vertébrale… et qu'il a servi dans les FFI du Cher Nord, groupe Oscar, secteur de Jars du 15-3-1944 au 12-7-1944, date à laquelle il a été tué.

Baudet carte combattant 1929

Tuilerie (La -)

La Tuilerie était un établissement industriel à droite du Chemin Vicinal n°1 (actuellement route de Pierrefitte-ès-Bois) qui n’existait pas sur le cadastre napoléonien. u En 1911, Louis Petit était un tuilier secondé par un employé, Paul Echard. En 1927, ils exploitent tous les deux la tuilerie Echard-Petit. Louis Barnabé Petit, né le 5 janvier 1878 à Sury-en-Vaux (de Florent Petit, tonnelier et Natalie Derbier, ménagère, demeurant à Vailly), tuilier, demeurant à Vailly, épouse le 2 janvier 1909 Cécile Echard, née le 3 mars 18970 à Cernoy, tuilière ; son père, Lorian (ou Laurian sur certains actes) Echard (1832 à Guilly – 1905 à Vailly), tuilier également, demeurait à Vailly de son vivant.

Tuilerie

Date de dernière mise à jour : 14/09/2024

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